Mardi 9 Avril 1991 - 2Ème Suite Diner Chez Hélène
Le matin lever difficile à 6,00 heures, Monique, se précipita dans la douche et voyant cela, je suivais le mouvement, nous étions tous les deux à nous frotter ainsi sous leau, puis chacun savonnant lautre, de véritables gamins qui caressaient, lautre, là ou il fallait et comme il fallait pour lexciter. Alors que jétais dans son dos, je métais collé à elle, la queue encore ramollie dans la raie de ses fesses et lentourant de mes bras pour prendre ses seins et moccuper sérieusement de ses tétons qui devenaient durs. Après ce traitement elle sétait retournée et sétait occupé de ma bite pour lui redonner forme, ce quelle fit avec ses doigts doucement mais efficacement. En sortant de la douche pour nous sécher le jeu continua et je bandais dur, ensemble on arriva sur le lit et la poussant un peu elle se mit en levrette : « Non,
sil te plait,
je vais être en retard,
»
Moi : « Ten as pas envie,
»
Monique : « Si, .. .je ne peux pas dire non,
je me tiens comme une salope,
je devrais avoir honte,
mais je men fou,
tu mas donné envie de toi,
prends moi,
baises moi,
je veux que tu me montes,
je suis ta femelle,
dépêches toi,
prends moi,
» Debout derrière elle, à hauteur, après quelques caresses sur et dans sa chatte jenfonçais ma bite dans sa grotte damour accueillante et commençais mes va et vient, elle était toute chaude et prête : « Oui,
jaime que tu me prennes comme ça,
je suis complètement à toi,
jaime que tu me montes,
occupes toi de mes fesses,
» Bon sang, javais oublié quelle aimait quelques claques sur la rotondité de ses fesses, ce qui la faisait se cabrer ou se tendre, réaction qui se transmettait aux muscles de sa chatte et par voie de conséquence à ma tige qui, alors, était légèrement enserrée dune façon agréable.
Mais, on avait baisé ce qui faisait à peine deux ou trois heures, je bandais toujours fort et je sentais le plaisir monter de mes reins, mais ça ne sortait pas.
Monique : « Arrêtes, je ne peux plus,
tu vas méclater,
jai la chatte en feu,
mais OOOHH,
non,
OOOHHH,
arrêtes,
»
Mais jétais parti et il fallait que ça vienne et que la pression diminue, mais en attendant que la nature fasse son travail je continuais mes va et vient avec énergie et, ..
Monique : « Arrêtes, tu es fou,
.NON,
Non,
non,
Oh,
OOOOHHH,
ne tarrêtes pas,
OUI, encore,
baises moi fort,
OOOOOHHH,
continues,
tu vas me faire jouir,
je sens que je vais jouir,
OUIIII,
OUIIIIII,
JE JOUIIIIIIIS,
»
Ces commentaires firent que cramponné à ses hanches je réussis, afin la nature fit que je me vidais dun seul coup dans sa grotte damour avec un long soupir de bienêtre.
Monique : «Tu nes quun salaud,
un profiteur, cétait pas prévu,
tu s,
tes content de toi,
mais tu mas bien fais jouir,
mais je vais être en retard,
» et rapidement elle se rhabilla et : « Je te rappelle dans la matinée,
je me sauve,
»
Moi : « Attends prends la carte clé de la chambre,
»
Nous étions le mardi matin et vers 9,00 h les participants devaient arriver. A priori tout avait été bien organisé, mais dans ce genre de réunions il y avait toujours des impondérables et il fallait être sur le pont avant larrivée des participants. Tout se passa relativement bien et le stage e formation se déroula sans encombre. A la pose jallais dans ma chambre pour essayer de « mamuser » avec Monique, malheureusement elle semblait très occupée et elle me répondit : « La personne que vous demandez est actuellement occupée, mais je lui ferais part de votre appel et je suis persuadée quelle se rendra à votre hôtel pour vous rencontrer, aux environs de midi ma-t-elle dit »
Sachant cela, jétais allé voir la réception et avais demandé que lon prépare, dans ma chambre, un plateau repas pour midi.
Monique : « Cest pour moi ce plateau,
»
Moi : « Oui,
Jai pensé que tu naurais pas le temps de te restaurer, alors,
je pourrais avoir un baiser avant de te restaurer,
»
Monique : « Oui,
Bien mais il faut que je te dise que quand je suis venu prendre ma fille,
»
Moi : « Le baiser dabord,
»
Elle vint contre moi et me tendit ses lèvres que je mempressais de prendre et en profitais pour la prendre dans mes bras et la serrer contre moi.
Monique : « Oh,
tas dit un baiser,
»
Moi, la poussant doucement vers le lit : « Oui,
mais jai goutté à tes lèvres du haut,
je veux gouter aux lèvres du bas, .. »
Monique : « Non,
tu triches,
tu es un malhonnête,
»
Je lavais, légèrement, poussé sur le lit, où malgré tout, elle sétait laissé tomber avec un : « Non,
attends,
ne commences pas,
»
Moi : « Dis que tu nen na pas envie,
je suis sur que ta chatte attends avec impatience que je moccupe delle,
»
Alors que je relevais sa jupe, elle écartait les cuisses et je retrouvais sa jolie chatte et sa douce odeur.
Monique : « Pourquoi, je me laisse faire,
pourquoi je dis toujours oui,
avec toi je nai plus une once damour propre,
plus de volonté,
je fais ce que tu veux, comme tu veux et ou tu veux,
cest vrai, je sais que tu vas me donner du plaisir,
OUI,
prends moi,
OUI,
embrasses moi,
lèches moi,
jaime sentir ta langue,
»
Vue sa bonne disposition, pendant que ma langue sactivait sur le haut de sa chatte, un majeur curieux sinsinua entre ses grosses lèvres, ce qui déclencha des soupirs de satisfaction, et un deuxième ensembles sactivèrent dans sa chatte, chaude et humide : Oui,
cest bon,
continues,
regardes je mouvre,
» effectivement elle était ouverte, coulante,
à chaque pénétration elle se cambrait et dune main sur ma tête, elle me maintenait sur sa chatte: « Oui,
continues,
ne tarrêtes pas,
Oh,
oui, continues,
tu sais me faire jouir,
OOOOHHH,
plus fort,
je vais jouir,
OUIIIIII,
» au moment elle partait à jouir, elle sétait cambrée, puis elle était redescendu, ses cuisses me bloquant la tête, pour enfin me libérer.
Moi : « Elle a peut-être deviné que tu avais été avec un ami, disons personnel,
penses-tu quelle va bavarder ? »
Monique : « Non, je ne pense pas,
de toutes façons, je sais ce quelle veut,
et si elle disait quoique ce soit, elle serait certaine de ne rien avoir,
mais, on verra la prochaine fois,
»
Moi : « Mais quest ce quelle veut,
»
Monique : « Devines,
»
Moi : « Je ne vois pas,
»
Monique : « Tu veux que je texplique,
moi,
je pense quelle espère de mavoir dans son lit,
Oh, elle ne ma rien dit très clairement,
mais je le sais,
je le sens,
»
Moi : « Et ça te tente,
»
Monique : « Je nen sais rien,
je ny ai jamais pensé,
mais,
enfin ny pensons plus,
»
Moi : « Je suis presque certain que tu y penses, ... je pense que je te connais un peu,
tu aimes le sexe,
et je vais plus loin,
cest une expérience que tu serais prête à tenter,
il te faut juste le motif dy céder,
»
Monique : « Tu nes en train de my pousser,
jai limpression que ça texciterait de savoir que je couche avec une fille,
»
Moi : « Peut-être, si jy assistais,
oui, jaimerais voir,
»
Monique riant : « Tes quand même un beau salaud,
je pense que non seulement tu aimerais assister,
mais je parie que tu aimerais participer,
»
Moi : « Holà,
deux belles nanas à satisfaire,
il me faudrait de laide,
»
Monique : « Autre chose,
juste avant que je quitte le bureau Hélène ma appelé pour me dire que mon mari, devait remplacer un collègue malade et quil partait en mission jusquà la fin de la semaine, il assurait la sécurité dun convoi pour Angers,
et elle a ajouté, ce serait sympa que tu viennes diner avec ton ami,
jaimerais connaître lhomme qui a réussi à tourner la tête à ma meilleurs amie,
et de façon à bien appuyer,
et elle a rajouté,
je peux moccuper ma filleule jusquau retour dHenry,
»
Moi : « Cest sympa,
ça va nous faire deux nuits à nous,
»
Monique : « Oui,
vue sa position, je la soupçonne davoir bricolé ce remplacement de dernière minute,
disons quelle me procure deux nuits de liberté,
elle fait ta connaissance,
mais surtout, après je lui serais redevable,
»
Moi : « Fine mouche ta copine,
tu peux lui dire que je ne peux pas venir,
que je ne peux pas mabsenter de ce séminaire,
»
Monique : « Non,
si elle quelque chose en tête, cela ne servirait à rien,
le mieux tu viens,
on dine et tu pars,
tout seul,
elle voudra certainement que je reste,
je pourrai voir ma fille demain matin,
»
Moi : « Bien comme tu veux, si après,
nous avons deux nuits à nous,
cela vaut le sacrifice,
mais on aura bien ces deux nuits,
»
Monique : « Promis,
bon, tu sais où jhabite, viens vers 19,00 h, tu nauras quà me suivre,
»
Moi : « Je pourrais monter,
»
Monique : « Non,
je sais ce qui se passera si tu montes,
alors non,
»
En convoi, nous arrivâmes chez Hélène qui nous accueilli très aimablement et nous fit rentrer.
Hélène, une belle rousse, cheveux courts ayant ce quil fallait où il fallait. Vêtue sagement dun corsage ajusté, disons très ajusté avec un décolleté raisonnable et dune jupe droite, naturellement chaussée descarpins. La première chose fut daller voir la fille de Monique qui venant dêtre couchée pu faire la bise à sa mère, avant de sendormir gentiment.
Et on se mit aux choses sérieuses en commençant par un apéritif sérieux, doublé, puis le diner dun excellent niveau au point de vue qualité, mais et généreusement arrosé, tout cela dans une excellente ambiance. Vers 22 heures, je décidais de lever le siège, mais ces dames décidèrent, avec juste raison, que nous avions trop bu et quil était imprudent et dangereux que je prenne le volant, dautant que lappartement dHélène étant relativement grand il métait possible de coucher dans la chambre damis et que ces dames, coucheraient dans la grande chambre, en tout bien tout honneur bien entendu.
Avant de nous séparer, Monique me glissa dans loreille, si je peux, je viens te rejoindre,
Ainsi, les rôles étant distribués, on se retira chacun dans sa chambre et pour ma part, je ne mis pas longtemps à sombrer dans un sommeil,
En fin de nuit, Monique vint me rejoindre et se calla amoureusement contre moi, contre mon dos. Une main partit à la recherche de « popol » et le trouvant sen occupa avec douceur, tant et si bien quil se remit rapidement au garde à vous. Le résultat atteint : « Je suis toute excitée,
viens prends moi,
» Sans lombre dune hésitation je me roulais sur elle, aussitôt elle menveloppa de ses cuisses : « Oui,
baises moi,
jai besoin dun homme,
dune queue,
» Là je fus surpris et tout dun cou, un doute,
jallumais la lampe de chevet. Ce nétait pas Monique, mais Hélène.
Moi, intelligemment : « Mais quest-ce que tu fais là,
»
Hélène : « Fermes cette lumière,
prends moi,
je te veux sur moi,
entre mes cuisses,
je veux ta queue,
baises moi,
ça fait si longtemps,
fais moi jouir,
tu auras tout ce que tu veux,
comme tu veux,
mais baises moi,
fais moi jouir,
» Et prenant ma bite, bien dressée, bien dure, en main, je me laissais guider dans sa chatte. Elle me reçu avec un Ouiiiiii aussi long que discret et je me mis à la ramoner avec ardeur, à chaque pénétration cétait dans un souffle un « ouIiiiiii, encore,
» Elle ne faut pas longue à avoir un gros orgasme qui la fit se cambrer, tellement fort, quelle me souleva, pour retomber quand je me vidais dans son fourreau.
Hélène : « Quand tu veux,
mon numéro de téléphone est sur la petite table dans lentrée,
»
Un léger baiser sur les lèvres et elle partit discrètement. Je restais éveillé, jusquà ce que le réveil indique 5,30 h et aussi discrètement que possible et pas fière du tout, je mhabillais silencieusement et je quittais les lieux.
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